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Land Ariste Alejandro Guzzetti

“Mon nom est Alejandro Guzzetti, je suis artiste et créateur, et j’aime penser que mon travail est un miroir de la nature par la nature. Mon regard se porte sur elle comme le sien se porte sur nous tous.

Inspiré par les structures originelles : Les éléments, l’œuf, le nid, les graines, je crée les œuvres que vous découvrirez sur ce site, en pensant systématiquement à la nature et l’environnement et en les faisant Actrice et Acteur principaux de mes créations éphémères. Certaines demeurent plus longtemps que d’autres, d’autres sont parfois comme foudroyés par l’eau et le vent.

Le vent joue lui aussi un rôle important dans mes inspirations, j’aime son invisibilité et sa présence. Il suffit comme pour l’eau de poser devant lui un obstacle pour le rendre audible et souvent même chantant. Pour jouer avec lui et montrer ses talents d’artiste.

Un autre de mes axes de travail est les désastres provoqués par notre société moderne, le gaspillage, la surconsommation, la pollution des rivières, des terres et des océans. Je leur trouve des reflets qui amène à réfléchir sur notre futur en donnant à chacun un parallèle : La réutilisation, le recyclage, et l’utilisation de ce que produit la Nature.

Je ne définis pas mon travail : Parfois Land Artiste, parfois Musicien, parfois Artiste en Colère et souvent Artiste Environnemental, je vous laisserai seul juge de cela au fil des pages que vous allez tourner ici.

Au fil des œuvres que vous aimerez parfois, détesterez peut-être, n’hésitez pas à me faire part de vos émotions au travers de la page « Interaction » (que vous trouverez sur ce site), car l’échange doit être le dernier travail de l’artiste.”

Rêves

Instants figés…
La Galerie de mes œuvres éphémères.

Histoire d’un Artiste Environnemental

Né en Argentine en 1957, Alejandro Guzzetti a vécu au Venezuela, au Portugal et en Italie, avant de déposer sa collection de coquilles, de graines, de plumes et de végétaux sonores à la Roche des Arnauds dans les Hautes-Alpes. Avec Monica (sa compagne de vie) ils créent l’association Espace Plaine et organisent des événements où l’art est considéré comme outil d’éducation et d’évolution des comportements. C’est un autodidacte et, comme tous les autodidactes, il en est fier. Aucune formation artistique, un métier «alimentaire» à Bergame pendant des années. Sa formation s’est faite dans le concret de l’existence, dans les livres, dans le besoin de créer des objets et des ambiances. Les rencontres, l’amitié, la nature sauvage ont produit cette migration et révélé ce port d’attache qu’est devenu «La Plaine». Il fut aussi un «papa poule» prenant soin de deux garçons qui, pour l’un d’entre eux, perpétue une sorte de culture migratoire et de curiosité naturelle. Sa maison est elle-même un nid où les insectes, les oiseaux et même les hommes peuvent trouver refuge. Ils y seront alors l’objet de toutes les attentions du maître des lieux et de Monica : Observations attentives et scientifiques, photos, discussions, débats, émerveillement, interrogation…